ANNE-MARIE LEFLAIVE / PORTRAITS DE CHEVAUX / AOUT 2017

DU 1er août AU 2 septembre 2017

GALERIE VINCENT PECAUD

EXPOSITION

ANNE-MARIE LEFLAIVE

PORTRAITS DE CHEVAUX

-PEINTURES-

 

21 RUE ELIE  BERTHET,  LIMOGES  TEL  [phone]

DU MARDI  AU SAMEDI   10H15-12H15 / 14H15-19H             Entrée libre

 

Dans les œuvres d'Anne-Marie Leflaive, la figure du cheval est omniprésente. Sa rencontre avec cet animal s'est faite depuis l'enfance et se poursuit encore à travers une pratique régulière de l'équitation avec son propre cheval.

Si sa peinture suit les traces des cubistes ou des fauves (dans un jeu de formes convexes et concaves, parfois même géométriques), elle s'attache aussi à révéler ce qui se passe dans le rapport avec ce mammifère particulier : un lien qui demande une grande humilité, qui conduit à se remettre en question et à interroger le rapport à la nature qui nous entoure. Bien qu'il en soit le révélateur discret, ici le cavalier est effacé pour laisser la place à la puissance de l'animal, mettre en valeur ses performances physique, révéler sa souffrance ou son esprit de liberté. Crin noir, Encolure fébrile, Cheval indien et bien d’autres titres sont évocateurs d’une passion et amour pour les chevaux.

Née à Limoges, Anne-Marie Leflaive vit actuellement sur Paris.

JEAN MARIE DURET ET GEORGE LAURENCE HENDEL : TRAVAUX D'ATELIERS / ACTES D'ESPERANCE

 

George Laurence HENDEL

 

Né le 12 octobre 1926 à Paris. Fasciné par l’Art Brut et sa capacité inventive. Il découvrit sa voie personnelle avec Tal Coat. Dès 1955 se livra à une fantastique entreprise de création (noir et blanc, encre de chine, Abstraction Lyrique). Nombreuses expositions en France, Allemagne, et Angleterre.

En parallèle à l’œuvre peint il réalise une œuvre écrite (27 recueils dans lesquels il retrace joies, deuils et angoisses). Son chef d’œuvre au sens compagnonnique du terme figure dans l’église d’Ars en Creuse : triptyque de 6m2 et les 21 stations d’un chemin de la Gloire, le tout en tapisserie d’Aubusson (maître lissier Bernard Battu). Il y dit son émerveillement de la vie et de la création, soulignant en même temps la dure épreuve que nous impose cette même vie.

 Une œuvre épique sur un évènement douloureux de l’histoire brésilienne lui valut d’être membre associé de l’Académie brésilienne de Rio de Janeiro et de voir un prix créé à son nom.

 

Jean-Marie DURET

 

Né en 1948 à Toulon (Var), issu d’une famille de peintres provençaux

Lettres, langues anciennes, Philosophie et Exégèse biblique prédominent ses études.

Il se fixe en Bourgogne où il entreprend ses recherches artistiques. Il exerce le métier d’infirmier et fonde un atelier d’Art-thérapie en 1997 qu’il animera pendant 15 années, pratiquant Peinture et Argile. En 1982, sur les traces de son frère Bernard Duret, il entreprend une formation de Reliure Manuelle à l’Ecole Estienne à Paris.

Il découvre un rapport entre les personnes qu’il soigne et les livres qu’il répare. Il lie dans son travail de plasticien, Reliure, Peinture, Ecriture, Photographie et Mise en scène. Son œuvre tente d’exprimer sa vision du LIVRE imaginaire, idéal, absolu. Ecrivains et poètes tels que Umberto Eco, Edmond Jabès, Jorge Luis Borgès l’accompagnent.

En 1989, avec son épouse, il entreprend un voyage en Israël, à la rencontre des deux peuples qui cherchent la Paix depuis 60 ans et des Manuscrits de la Mer Morte, au Sanctuaire du Livre à Jérusalem.

L’axe de sa recherche tourne autour du couple.