Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • EXPOSITION MAURICE MANTE 1923-1999, GALERIE VINCENT PECAUD LIMOGES, MARS 2023

    Figures de l’abstraction

     

    Maurice Mante

    1923-1999

     

     

     

    « Je suis abstrait avec des souvenirs »

    Paul Klee

     

     

    Maurice Mante est né à Limoges le 9 février 1923.

    A l’occasion du 100ème anniversaire de sa naissance, cette exposition retrace l’évolution de son parcours artistique du figuratif à l’abstrait.

    Elle fait suite à l’importante rétrospective de peintures abstraites et de

    sculptures qui a eu lieu en juin 2001 au Pavillon de l’Orangerie, à Limoges.

    Puis, en 2002, à l’exposition des œuvres sur papier présentées à la Galerie 39A, 39 rue Adrien-Dubouché, à Limoges.

    En 2021, sa famille a fait don de ses nombreux carnets de croquis aux Archives Municipales de Limoges.

     

    Passionné dès son plus jeune âge par le dessin, Maurice Mante suit les cours de Jean Virolle (1890-1948) à l’Ecole des Arts Décoratifs de Limoges.

    De cette époque (1942), datent les aquarelles de coquillages, travaux d’école d’un élève appliqué et d’un amoureux des coquillages qu’il collectionnera toute sa vie.

    En 1958, il peint dans un style très classique le portrait de sa grand-mère, précédé de croquis au stylo où il note soigneusement les teintes.

    Cette même année, il change de style et s’oriente vers le cubisme pour réaliser deux portraits : celui de ses parents et de sa fille.

    A partir des années 60, il se tourne vers l’abstrait, cherchant inlassablement à se renouveler.

    Les années 80 sont les plus prolifiques. Alors à la retraite, il peut se consacrer entièrement à la peinture et peint plus de 160 toiles.

    En 1986, il réalise «  la grosse tête » une sculpture en orme de 60 cm de haut.

    L’agencement des formes géométriques de cette figure féminine massive va lui inspirer une série de travaux : peintures à la cire et linogravures où il déconstruit et reconstruit les lignes de force de la sculpture.

    Forme ronde, cou massif, bouche proéminente, coiffure très structurée : les lignes se combinent et se métamorphosent jusqu’à une peinture presque blanche où le point de départ est à peine perceptible.

    La forme ronde continuera à l’inspirer les années suivantes, même si la référence à « la grosse tête » est moins explicite.

     

     

     

    Restant toujours fidèle à l’abstrait, il n’a eu de cesse d’explorer de nouvelles voies jusqu’à la fin de sa vie, intégrant à la peinture d’autres matériaux (carton ondulé, papier kraft, ficelle, bois flotté).

    Une vie consacrée à la peinture, sans souci d’exposer, de vendre ou de laisser une trace pour la postérité.

    Pour le plaisir de créer, poussé par une nécessité intérieure.

    Il écrivait à un ami : « Travailler comme si peindre était un jeu dangereux, difficile peut-être mais exaltant »

     

    Résumé :

     

    Figures de l’abstraction

    (peintures, dessins, gravures)

     

    Maurice Mante

    1923-1999

     

     

    A l’occasion du 100ème anniversaire de sa naissance (à Limoges), cette exposition retrace l’évolution de son parcours artistique du figuratif à l’abstrait.

     

    En 2021, sa famille a fait don de ses nombreux carnets de croquis aux Archives Municipales de Limoges.

     

    Passionné dès son plus jeune âge par le dessin, Maurice Mante suit les cours de Jean Virolle (1890-1948) à l’Ecole des Arts Décoratifs de Limoges.

    A partir des années 60, il se tourne vers l’abstrait, cherchant inlassablement à se renouveler. Les années 80 sont les plus prolifiques.

    Il n’a eu de cesse d’explorer de nouvelles voies jusqu’à la fin de sa vie, intégrant à la peinture d’autres matériaux (carton ondulé, papier kraft, ficelle, bois flotté).

    Une vie consacrée à la peinture, poussé par une nécessité intérieure, et sans souci d’exposer, de vendre ou de laisser une trace pour la postérité.

    Il écrivait à un ami : « Travailler comme si peindre était un jeu dangereux, difficile peut-être mais exaltant »

     

     

     

    Du mercredi 1er au vendredi 31 mars 2023

    Galerie Vincent Pécaud

    21 rue Elie Berthet 87000 Limoges

    Du mardi au samedi, 10h30-12h15 et 14h30-19h

    Entrée libre

    tel 06 80 87 84 03